Maintenance informatique à Namur. Ces dernières années, le secteur IT a connu de remarquables progrès grâce à l’essor du numérique et de l’intelligence artificielle (IA). Les PME ont désormais accès à des technologies qui leur permettent d’améliorer leurs stratégies managériales et opérationnelles. Découvrez les tendances IT qui peuvent révolutionner le système d’information de votre organisation.
MAINTENANCE INFORMATIQUE À NAMUR
1. Intelligence artificielle et machine learning
Automatiser la gestion des données
En l’espace de quelques années, l’intelligence artificielle (IA) est devenue indispensable pour les PME. Son intégration dans les process opérationnels leur permet d’automatiser la gestion des données et de faciliter les prises de décision. Comme la compréhension du langage naturel est devenue plus fluide. Les machines peuvent réaliser des tâches qui étaient auparavant uniquement réservées à des humains.
Cloud computing et big data
Aujourd’hui, le recours à l’IA et au machine learning impose l’utilisation de ressources de calcul importantes. C’est en fait l’émergence du cloud computing et du big data qui a permis de favoriser leur développement au sein des PME. La plupart des fournisseurs de services cloud proposent des ressources de calcul hautement évolutives comme les instances de machines virtuelles et des clusters de calcul.
Services de machine learning
Pour faciliter leur utilisation, ils ont même tendance à proposer des services de machine learning gérés, tels que Amazon SageMaker, Google Cloud AI Platform et Microsoft Azure Machine Learning. Ces services vous fournissent des frameworks et des outils prêts à l’emploi pour développer, former et déployer des modèles d’IA.
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2. Cybersécurité renforcée
Cyberattaques en progression
Le constat est sans appel ! De plus en plus de PME sont victimes de cyberattaques. Ces agressions extérieures s’intensifient à mesure que les progrès technologiques se développent. Au sein des entreprises, ces agressions peuvent entrainer des pertes de données, endommager les systèmes d’information ou ternir leur réputation.
La cybersécurité concerne l’ensemble d’outils, de processus et de lois établis pour prévenir ces situations. Face à la recrudescence de la criminalité digitale, les instances mondiales ont favorisé la mise en place de stratégies efficaces. Elles ont pour objectif de protéger les appareils, les réseaux, les programmes et les informations d’une organisation des cyberattaques.
Renforcement des infrastructures et de la législation
Des technologies en lien avec l’intelligence artificielle, l’apprentissage automatique et l’analyse comportementale sont largement utilisées pour détecter et prévenir les attaques de manière plus efficace. Les mesures mises en place pour renforcer la sécurité des réseaux et des systèmes informatiques englobent la mise en place de pare-feu, de systèmes de détection d’intrusion et de protection des données.
Les gouvernements, les entreprises et les organisations internationales ont entrepris d’unir leurs efforts pour partager des informations sur les menaces, coordonner des réponses aux incidents et élaborer des normes communes en matière de cybersécurité.
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3. Internet des objets (IoT)
Internet of things
L’internet des objets, ou Internet of Things (IoT) en anglais, fait référence à l’interconnexion entre le web et les objets. Le fonctionnement de cet IoT est essentiellement basé sur l’exploitation des données disponibles. Chaque objet relié est ainsi capable de collecter, d’exploiter et de transférer des données tangibles sur un réseau.
Contrôle à distance
Les données collectées par les objets connectés offrent aux PME une visibilité accrue sur leurs opérations. En utilisant l’IoT, elles peuvent ainsi surveiller et contrôler à distance leurs équipements et leurs processus. Ce contrôle permet d’effectuer des maintenances préventives, de détecter des pannes, d’optimiser l’utilisation de nouvelles ressources et d’améliorer la productivité globale. Les capteurs connectés recueillent des données en temps réel sur les opérations, les stocks, la consommation d’énergie, etc., ils peuvent ensuite les transmettre aux systèmes de gestion.
Solutions intelligentes
L’analyse des données fournies par l’IoT permet également aux PME de disposer d’informations précieuses sur les tendances, les modèles de consommation, les préférences de leurs prospects et clients, etc. En intégrant des fonctionnalités IoT à leurs offres existantes, elles peuvent ainsi offrir des solutions plus intelligentes, connectées et personnalisées à leurs clients. Autant d’informations qui peuvent être exploitées pour personnaliser les offres, fournir un support client plus efficace et améliorer l’expérience globale des utilisateurs (UX).
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4. Blockchain et contrats intelligents
Automatisation de transactions
La création des contrats intelligents sur la blockchain est l’une des tendances tech à suivre en 2023. Ces accords numériques sont stockés dans une base de données et s’exécutent automatiquement lorsque les conditions prédéfinies sont respectées. Ce qui réduit les risques de fraude et les erreurs humaines. Ces contrats intelligents sont principalement utilisés pour automatiser des transactions financières, des accords d’échange, des règlements, des accords de partage de ressources, etc.
Les contrats intelligents font partie des avancées technologiques qui facilitent la prise de décision au sein d’une organisation. Ils permettent d’automatiser l’exécution d’un accord sans avoir à passer par des intermédiaires. Ces contrats sont exécutés sur une blockchain, qui est un registre distribué et sécurisé. La blockchain enregistre et vérifie toutes les transactions et les actions liées aux contrats intelligents.
Mécanismes de cryptographie
Ces contrats sont écrits dans un langage de programmation spécifique pris en charge par la plateforme blockchain. La technologie de la blockchain utilise des mécanismes de cryptographie pour garantir l’intégrité des données et l’authenticité des parties impliquées dans le contrat. Toutes les transactions et les actions exécutées par les contrats intelligents sont visibles publiquement. Cette mesure garantit la transparence des actions et la traçabilité de toutes les opérations. À l’ère du numérique, ces accords sur la blockchain sont d’une grande utilité pour les entreprises qui souhaitent automatiser la gestion de leurs projets.
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5. Edge computing
Informatique périphérique
Cette approche de traitement des données consiste à effectuer des calculs et des analyses à proximité des appareils et des utilisateurs. Elle évite ainsi de devoir les envoyer à un serveur distant ou à un cloud centralisé. En traitant les données à la périphérie du réseau, l’edge computing permet de réduire la quantité de données à transférer vers le cloud centralisé. Cette procédure optimise l’utilisation de la bande passante, réduit les coûts de connectivité et soulage les réseaux en évitant une congestion inutile.
Limitation des risques
L’edge computing entraine une réduction drastique du temps de latence (délai entre l’envoi d’une requête et la réception d’une réponse). Comme le traitement des données est effectué près de la source, les résultats sont obtenus plus rapidement. Cette capacité est essentielle pour des applications en temps réel, telles que les véhicules autonomes, les systèmes de surveillance, les jeux en ligne, etc.
Ce dispositif offre également un niveau supérieur de confidentialité et de sécurité des données. Comme les informations sensibles ne sont pas envoyées à un serveur distant, elles restent sous le contrôle local de l’appareil ou de la passerelle de l’edge. Une telle stratégie réduit les risques liés à la divulgation de données sensibles et améliore la protection contre les cyberattaques.
Répartir la charge
L’edge computing permet enfin de répartir la charge de traitement sur plusieurs appareils à la périphérie du réseau. Comme la distribution de la charge de travail est plus équilibrée, le cloud centralisé s’en trouve soulagé. Et lorsque la connectivité réseau est interrompue ou instable, l’edge computing permet de maintenir le fonctionnement des applications critiques. Garantissant ainsi une meilleure résilience et une disponibilité continue des services.
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6. Réalité augmentée et réalité virtuelle
Réalité augmentée (RA)
La réalité augmentée (RA) consiste à superposer des éléments virtuels, tels que des images, des graphiques ou des informations, sur le monde réel. Elle est généralement réalisée à l’aide d’un dispositif mobile (smartphone ou tablette) équipé d’une caméra et d’un écran. Les applications de réalité augmentée utilisent la caméra pour capturer la vue du monde réel. Elles ajoutent ensuite des éléments virtuels à cette vue en temps réel. Ces éléments sont généralement alignés et intégrés de manière réaliste dans le contexte réel, offrant ainsi une expérience interactive qui enrichit la réalité. Les exemples les plus courants de réalité augmentée concernent les filtres et les effets spéciaux utilisés dans les applications de réseaux sociaux.
Applications pratiques
La RA permet aux clients de PME de visualiser les produits de manière interactive avant de les acheter. Elle est également utilisée pour former les employés et fournir une assistance technique.
Les techniciens ont par exemple la possibilité de visualiser des informations en temps réel sur les procédures de réparation. Si une PME opère dans le domaine de l’architecture ou de la construction, la RA peut être utilisée pour visualiser les conceptions et les plans.
Réalité virtuelle (RV)
La réalité virtuelle (RV) crée en revanche un environnement virtuel complètement simulé dans lequel les utilisateurs peuvent interagir. Les dispositifs de réalité virtuelle, tels que les casques VR, plongent les utilisateurs dans un monde virtuel en bloquant leur vue sur le monde réel.
Applications pratiques
Les PME utilisent la RV pour créer des présentations et des démonstrations immersives de leurs produits ou services. Elles y ont également recours pour former les collaborateurs de manière interactive et immersive. En matière de R&D, la réalité virtuelle est utilisée pour créer des prototypes virtuels de produits ou de concepts de design.