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Solutions informatiques à Namur   

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Solutions informatiques à Namur : No Code vs Low Code

A Namur, les solutions informatiques se font innovantes. Face au monde de l’IT en perpétuelle mutation, les opérateurs du secteur doivent réagir de manière proactive aux évolutions du marché. Dans ce contexte, le développement dit « traditionnel » présente deux inconvénients de taille : il peut être cher et chronophage. Pour favoriser l’agilité, la flexibilité et la rapidité des process, de nouveaux outils sont mis à la disposition des développeurs et des ingénieurs. Le No Code et le Low Code font partie de ces nouvelles philosophies de développement.

Solutions informatiques à Namur : le No Code

En plein essor, le développement No Code propose une programmation sans aucune saisie textuelle de code. Le No Code permet ainsi aux équipes business de créer elles-mêmes leurs applications sans avoir à recourir à des développeurs.

Cette pratique n’est cependant envisageable que pour les projets les plus simples, comme la création d’un sondage en ligne (via Google Forms par ex.) ou la mise en place des processus automatisés (via Zapier et IFTTT par ex.).

Les projets No Code deviennent opérationnels grâce à l’utilisation d’outils graphiques qui gomment la complexité des langages de programmation. 

  • Des modèles graphiques et des widgets prépackages pour assembler les interfaces utilisateurs.
  • La possibilité de glisser-déposer des composants applicatifs pour créer le synoptique de l’application (vue générale). Cette technique permet également de combiner les différentes étapes des processus : tunnel de conversion, suivi de commande, etc.
  • Le workflow automation pour déclencher des actions en fonction d’événements, telle la génération d’alertes ou de contremesures (seuil de chiffre d’affaires ou de trafic par ex. ).

Mais attention : lorsque ces outils de développement No Code sont simples à prendre en main, ils se révèlent dans les faits très limités.

Solutions informatiques à Namur : le Low Code

Tous les développeurs (notamment débutants) savent que le codage est un processus qui s’avère très complexe à appréhender. Via l’utilisation de logiciels Low Code (peu de code), ils peuvent désormais créer une application sans posséder une solide expérience en programmation. 

En pratique, le concept Low Code consiste à compléter un environnement No Code de possibilités d’éditer en parallèle le code source de l’application. Pour faciliter le développement et la livraison d’applications, cette technologie privilégie en effet les interfaces glisser-déposer plutôt que des langages de programmation. Cette alternative permet ainsi de simplifier le codage traditionnel et de travailler plus rapidement. 

Comparés au No Code, les projets orientés Low Code sont plus riches et permettent des développements spécifiques et innovants. En règle générale, ces adaptations nécessitent l’intervention de programmeurs.

Les avantages du No Code et du Low Code

Le choix pour une plateforme No Code ou Low Code dépend de la nature du projet à mettre en œuvre et des objectifs à atteindre. Ces deux modes opératoires peuvent offrir des avantages non négligeables :

La simplicité

Le Low Code permet aux entreprises de confier les tâches de développement d’applications à des non-professionnels. Cette opportunité permet de réserver les tâches les plus complexes aux professionnels qualifiés.

La rapidité

Le recours au No Code et au Low Code débouche invariablement sur des économies de temps et de ressources. La création d’applications ne nécessitant que quelques jours ou quelques heures. Les utilisateurs peuvent en outre créer des applications pour différentes plateformes en même temps. Applications qui peuvent même être déployées d’un simple clic.

La gestion des risques

Comme les outils No Code et Low Code peuvent être rapidement mis en place, leur usage limite les risques opérationnels. Ils permettent ainsi de respecter les délais fixés et s’adaptent très facilement aux changements. Durant les incertitudes engendrées par la crise du Covid-19 pas exemple, le Low Code s’est révélé particulièrement utile.

Le retour sur investissement

La majorité des entreprises considèrent que les plateformes No Code et Low Code sont plus économiques que le développement traditionnel. Comparées aux risques (limités) qu’elles peuvent entrainer, elles possèdent un potentiel de retour sur investissement (ROI) relativement avantageux.

Les inconvénients du No Code et du Low Code

Chaque médaille a son revers. C’est pourquoi il est toujours instructif de considérer les désavantages engendrer par l’une ou l’autre plateforme avant de s’engager.

Une simplicité à outrance

Comme les solutions No Code et Low Code sont loin d’être aussi complexes et performantes qu’un développement traditionnel, les fonctionnalités offertes peuvent au final s’avérer relativement restreintes. La plupart du temps, ces plateformes proposent d’assez bas niveaux de flexibilité, de personnalisation et de sécurité. Elles sont dès lors mieux adaptées aux applications élémentaires destinées aux particuliers ou aux PME plutôt qu’aux grosses structures.

Une intégration limitée

Bien que les plateformes No Code et Low Code puissent être intégrés dans un grand nombre de systèmes, elles risquent d’être non compatibles avec des logiciels complexes ou sophistiqués. Il suffit de considérer les applications qui utilisent des bases de données externes ou des backends multiples pour s’en convaincre.

Solutions informatiques à Namur : Quid de la sécurité ?

Choisir un outil fiable

Le succès des outils No Code et Low Code tient au fait qu’ils peuvent être connectés avec de nombreux plug-ins ou composants. Cette spécificité les rend particulièrement adaptables et personnalisables. Ce confort a cependant un prix. Comme ces outils sont développés par des opérateurs externes, la pile technique qui les compose reste invisible pour le développeur qui l’utilise. Faute de visibilité sur la conception et le degré de sécurisation de l’outil, il doit se fier aveuglément au fournisseur. Notez que les outils qui envisagent de s’imposer sur le marché investissent massivement dans la sécurité. Car c’est cette fiabilité qui va renforcer leur réputation au sein de la communauté des développeurs. Pour choisir une bonne plateforme, il suffit d’observer la communauté qui l’utilise. Si elle est active et grandissante, c’est souvent le signe que l’outil est fiable.

Conserver la gouvernance des données

En matière de sécurité, il est également recommandé de connaître la manière dont les outils No Code et Low Code mettent à disposition, accèdent ou utilisent les données des utilisateurs et des applications. Si la probabilité qu’une fuite survienne lors d’une manipulation des données reste très faible, elle n’est pas nulle. Cette préoccupation sécuritaire est susceptible de survenir dans deux cas précis.

  • Lors de tests, un développeur a la possibilité d’utiliser et de stocker certaines données personnelles de l’utilisateur sans qu’il s’en aperçoive.
  • Lors d’une automatisation, les données passent d’un outil A à un outil B. Il est quasi impossible de savoir où les données vont transiter et être stockées lors de cette opération.

L’erreur humaine

L’expérience montre que dans la plupart des cas pratiques, les erreurs de procédure sont dues au facteur humain plutôt qu’à la fiabilité de l’outil. Comme la mauvaise maîtrise de l’outil a souvent des répercussions négatives, il est primordial que leurs fournisseurs facilitent son utilisation via la communication de bonnes pratiques. Les agences et les freelances qui proposent cette technologie doivent également former leurs clients à l’utilisation du produit développé.

 

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